PARUTION PRESSE LSA : Les distributeurs doivent industrialiser la gestion des retours

La logistique des retours ou appelée « reverse logistics » fait de plus en plus parler d’elle. Elle fait désormais partie des axes prioritaires dans la stratégie des marques. A ce titre, LSA consacre un dossier sur le sujet et nous explique pourquoi elle ne doit plus être négligée dans la stratégie supply chain des marques.

La reverse logistics, un sujet d’actualité

Le dossier débute par un rapide récapitulatif des enjeux : faciliter les retours, redonner de l’autonomie aux équipes via des outils, organiser le transport…

D’après LSA, le taux moyen de retour en France d’élève à 10%.

Le cas des retours dans le secteur du prêt-à-porter

Comme l’explique Bertrand Chabrier, Directeur du Développement de C-LOG, les retours sont très nombreux dans la mode, mais surtout dans le cadre des retours fins de saison. Selon lui, trois informations sont importantes :

• Sur les retours en général : les retours coûtent cher et le produit doit être rapidement traité avant d’être remis en stock ou de repartir vers un vendeur tier
• Sur les retours dans la fast-fashion : les retours se font en colis, et le reconditionnement s’effectue manuellement et/ou via une trieuse haute-cadence
• Concernant la reverse logistics haut-de-gamme/luxe : il s’agit d’un processus plus complexe dû à la nature du produit et son coût élevé. Dans ce cas, le reconditionnement s’effectue à la pièce de façon manuelle et inclus bien souvent un pliage particulier, une remise sous cello ou encore un ré étiquetage.

La reverse logistics côté transport

Au niveau du transport, des solutions existent afin de simplifier les retours et rendre de l’autonomie aux magasins. C-LOG propose par exemple un portail web accessible pour les petites et grandes entreprises afin de planifier des enlèvements et d’imprimer des étiquettes transport. Grâce à lui et aux outils de pilotage transport de C-LOG, le processus de retour en entrepôt est plus rapide.

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